Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon coeur
D'une langueur monotone
Tout suffocant
Et blême
Quand sonne l'heure
Je me souviens
Des jours anciens
Et je pleure
Et je m'en vais
Au vent léger
Qui m'emporte
De çà de là
Pareil à la feuille morte Paul VERLAINE
POEME DE TARDOR
Patina per l'aire,
rellisca, ja és vent,
arriba i és lladre
del sol estiuenc.
i estira les ombres
Es vesteix de pluja,
pinta al cel la tristor
quan dicta els seus mots
el poema de tardor
A la tardor, cauen les fulles a munto
A la tardor, ni fred ni calor
Commentaires
La saison passe mais les souvenirs de l'été restent dans nos têtes; Bel Automne à vous
Rendez- vous pour les diades de Cabestany