La légende de Sant Jordi

La légende dit qu'autrefois, à Montblanc (Tarragona), un dragon féroce capable d'empoisonner l'air et tuer avec son souffle, effrayait les habitants de la ville. Les habitants, apeurés et fatigués de ses ravages et méfaits, décidèrent de lui livrer chaque jour une personne au hasard afin d´apaiser sa colère. Quelques jours plus tard, la malchance toucha la princesse.
Lorsque la princesse quitta sa demeure pour rejoindre le dragon, un chevalier nommé Sant Jordi, portant une armure brillante, apparu soudain sur son cheval blanc pour la secourir. Sant Jordi leva son épée et transperça le dragon, libérant enfin la princesse et les habitants.
Un rosier sortit du sang du dragon, dont les roses étaient d’un rouge comme on n'en avait jamais vu.Sant Jordi, triomphant, cueillit une rose et l’offrit à la princesse.

 

 

 

 

 

 

 

"La llibertat és una llibreria" Joan Margarit

Ens trobareu al 7 de la plaça Joan Payra de Perpinyà Obrim de dimarts a dissabte, de 9h30 a 12h30 i 14h a 19h www.llibreriacatalana.com

Amis sardanistes un rappel pour ce déplacement à Toulouse qui est le 70 ieme aplec pour nos amis sardanistes de Toulouse.

 

Ce que la vie m'a appris ?

Que ce soit à la banque, à la poste, au supermarché ou au péage, c'est toujours la file la plus courte qui avance la moins vite

 

Michel GALABRU

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aimer, c'est l'art d'être avec d'autres

Méditer c'est l'art d'être en relation avec soi-même

Laissez l'amour et la méditation être vos deux ailes

 

 OSHO

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les débuts de la tradition du premier avril remonteraient au XVIe siècle et plus précisément à l’an 1 564. La légende veut que jusqu’à cette date, l’année commençât au premier avril, à la fête de l’Annonciation à Marie et avec la tradition de s’échanger des cadeaux. Concernant l’utilisation du poisson comme symbole de cette tradition, celle-ci demeure mystérieuse. Certains pensent que cela serait lié aux dates d’ouverture et de fermeture de la pêche dans certains pays. Afin de faire une blague aux pêcheurs, si la pêche était trop facile ou à l’inverse peu fructueuse, on leur offrait un hareng. Et l’habitude de l’accrocher aux vêtements des victimes se serait alors développée. Et ce n’est qu’une fois que l’odeur devenait trop forte qu’ils réalisaient la blague qu’on leur avait faite. Quoi qu’il en soit, la coutume de faire des plaisanteries le premier avril ne se passe pas seulement en France. Cela s’est répandu un peu partout à travers le monde. Aux États-Unis, en Angleterre, au Mexique, en Ecosse ou encore en Grèce, on célèbre cette tradition

 

 

 

 FEUILLETE POISSON CURRY TOMATE

Cuisson : 35 min

1. Pelez et émincez un petit oignon. Mélangez le coulis de tomate avec le curry.
2. Déroulez la pâte feuilletée. Répartissez le coulis de tomate et les oignons.
3. Déposez les filets de poisson au centre.
4. Découpez des lanières de pâte feuilletée de chaque côté du poisson. Ne taillez pas le haut et le bas.
5. Rabattez le haut de la pâte de manière à enrober le poisson et former la tête. Puis rabattez les lanières sur le côté, jusqu’à le queue. Mouillez la pâte avec un peu d’eau pour bien la souder.
6. Dessinez des petits traits avec le dos d’un couteau pour illustrer la queue du poisson. placez une olive ou un câpre pour former l’oeil.
7. Faites cuire 35 min dans le four préchauffé à 180°C. (Placez le poisson en bas du four pour que la pâte feuilletée soit bien cuite).

"La llibertat és una llibreria" Joan Margarit