Amis du Cap d'Estany Sardaniste

La légende dit qu'autrefois, à Montblanc (Tarragona), un dragon féroce capable d'empoisonner l'air et tuer avec son souffle, effrayait les habitants de la ville. Les habitants, apeurés et fatigués de ses ravages et méfaits, décidèrent de lui livrer chaque jour une personne au hasard afin d´apaiser sa colère. Quelques jours plus tard, la malchance toucha la princesse.Lorsque la princesse quitta sa demeure pour rejoindre le dragon, un chevalier nommé Sant Jordi, portant une armure brillante, apparu soudain sur son cheval blanc pour la secourir. Sant Jordi leva son épée et transperça le dragon, libérant enfin la princesse et les habitants.Un rosier sortit du sang du dragon, dont les roses étaient d’un rouge comme on n'en avait jamais vu.Sant Jordi, triomphant, cueillit une rose et l’offrit à la princesse.

Ce que la vie m'a appris ?

Que ce soit à la banque, à la poste, au supermarché ou au péage, c'est toujours la file la plus courte qui avance la moins vite

Les débuts de la tradition du premier avril remonteraient au XVIe siècle et plus précisément à l’an 1 564. La légende veut que jusqu’à cette date, l’année commençât au premier avril, à la fête de l’Annonciation à Marie et avec la tradition de s’échanger des cadeaux. Concernant l’utilisation du poisson comme symbole de cette tradition, celle-ci demeure mystérieuse. Certains pensent que cela serait lié aux dates d’ouverture et de fermeture de la pêche dans certains pays. Afin de faire une blague aux pêcheurs, si la pêche était trop facile ou à l’inverse peu fructueuse, on leur offrait un hareng. Et l’habitude de l’accrocher aux vêtements des victimes se serait alors développée. Et ce n’est qu’une fois que l’odeur devenait trop forte qu’ils réalisaient la blague qu’on leur avait faite. Quoi qu’il en soit, la coutume de faire des plaisanteriesle premier avril ne se passe pas seulement en France. Celas’est répandu un peu partout à travers le monde. Aux États-Unis, en Angleterre, au Mexique, en Ecosse ou encore en Grèce, on célèbre cette tradition